
Les carottes avant le désherbage

Les carottes après désherbage

Les salades

Les courgettes

Une petite mauvaise nouvelle, c’est trop sec pour planter. En espérant la pluie…
Les carottes avant le désherbage
Les carottes après désherbage
Les salades
Les courgettes
Une petite mauvaise nouvelle, c’est trop sec pour planter. En espérant la pluie…
Samedi 27 avril
Samedi 25 mai
Les 10 ans de l’AMAP le samedi 15 juin
Samedi 29 juin
Samedi 20 juillet
Samedi 10 août
Samedi 07 septembre
Samedi 28 septembre
L’Assemblée Générale Ordinaire de notre AMAP s’est tenue, comme d’habitude, à la salle Cécile Bocquet à Reignier, à 20 heures.
La salle se remplit peu à peu. Les adhérents ont rarement été aussi nombreux à se déplacer, parfois de loin, tant et si bien que nous avons manqué de sièges ! Au total, ce sont 26 adhérent(e)s, parfois avec leurs conjoint(e)s qui ont participé à cette 9ème Assemblée Générale Ordinaire.
Quelques membres du bureau et du collectif s’apprêtent pour parler de l’année écoulée à l’AMAP.
Laëtitia PRUDHOMME, présidente, commence à parler, mais laissons-lui un peu la parole :
« J’aimerais d’abord tous vous remercier d’être venus ce soir : les Amapiens et Amapiennes, le collectif qui se dépense sans compter, la mairie présente également avec Monsieur Philippe SAUVAGET, adjoint) . les divers producteurs de nous avoir rejoints et tous ceux que je pourrais oublier.
Je souhaite aussi dire merci à tous nos adhérents de 2017-2018 pour cette chouette année passée ensemble et souhaiter la bienvenue aux nouveaux adhérents qui ont choisi de nous rejoindre. »
Laëtitia continue en disant combien cette expérience fut enrichissante pour elle, à tous points de vue et combien elle est triste de quitter non seulement la présidence, mais aussi l’AMAP, puisqu’elle doit partir, avant la fin de l’année à plusieurs centaines de kilomètres de la Haute-Savoie.
Ensuite, Michèle DUCLOT, vice-présidente, et Annemarie BUCHET, webmestre se relaient pour parler des activités de l’année écoulée, des problèmes rencontrés avec les intempéries et des projets pour la nouvelle saison culturale.
Caroline MONCEYRON, trésorière, commente le bilan et le rapport financier et nous taquinons Laurence JULIENNE, secrétaire, qui écrit, écrit inlassablement tout ce qui se dit, sans doute dans la crainte d’oublier de noter une chose importante.
Frieda BIOLLUZ évoque ensuite les problèmes rencontrés cette année avec la sécheresse et les épisodes de grêle qui ont saccagé les bâches de plusieurs serres. Pour ces raisons, en hiver, beaucoup de légumes seront plus petits que la normale. Les contrats ayant été moins nombreux que l’an passé, Jean-Pierre et Frieda ont dû se séparer d’un employé et son absence se sent particulièrement sentir quand il faut livrer les paniers à Thyez le matin et à Bonneville l’après-midi, sans parler du déficit financier et temps. A partir du 7 décembre, les paniers de Thyez seront livrés l’après-midi.
Après nous être plaints du manque chronique d’effectifs pour la gestion de l’AMAP, nous demandons si des Amapien(nes) souhaiteraient intégrer le collectif et nous avons l’heureuse surprise d’avoir de nombreux candidats !
Très émue, Laëtitia reçoit une belle orchidée en remerciement de son dévouement, de son implication et de la générosité de son cœur. Elle ne peut s’empêcher de verser une petite larme !
Qu’une nouvelle aventure commence avec un total de 15 membres au collectif : du jamais vu ! (des personnes sont absentes sur la photo).
Merci à la vingtaine de personnes qui est venue pour désherber les poireaux qui peuvent maintenant respirer tout à leur aise et grossir.
Les producteurs ont été très touchés de la compréhension et la solidarité manifestée par les Amapien(nes) après les dégâts dus aux intempéries.
Pour rappel, la grêle a mitraillé les cultures de plein champ et a perforé les bâches des serres. Les légumes des serres ont été un peu touchés, car les côtés des bâches étaient relevés en raison de la forte chaleur. Quelques jours plus tard, le vent a décidé de détourner l’attention des gens absorbée par la grêle en arrachant les bâches de deux serres, laissant les légumes sans protection.
Les maraîchers ont fait le maximum pour diminuer l’impact de ces intempéries et la bâche d’une serre a déjà été réinstallée le 11 août 2018.
Vers 10 heures, une table toujours copieusement garnie par Frieda avec croissants, pain, confitures, etc., attendait les travailleurs pour une pause déjeuner bien méritée. A cette occasion, ils ont pu goûter également une confiture de courgettes-citron-gingembre qui a surpris agréablement la plupart d’entre eux.
Encore un grand merci aux Amapiennes et aux Amapiens pour leur participation !
Le 1er août, nos maraîchers constataient les dégâts causés par la grêle dans les champs et les serres. En voici un exemple :
Tous les légumes avaient été déchiquetés, mais certains sont laissés en place, pour le moment, car si leur cœur n’a pas été abîmé, ils risquent de continuer leur croissance.
Cependant, la série noire continue ! Le vent violent de la nuit passée s’est engouffré dans les serres et deux d’entre elles ont été complètement découvertes et les bâches déchirées.
Nos maraîchers sont bien évidemment consternés par ces nouveaux dégâts qui s’ajoutent à ceux de la grêle ! Ils vont essayer de réparer au plus vite et emploient toute leur réserve de courage pour faire face à ce coup du sort.
Nous ne pouvons que les soutenir dans ces épreuves et leur proposer notre aide si besoin.
Le premier jour du mois d’août, un orage de grêles’est abattu sur Reignier, ravageant les champs, criblant les voitures d’impacts et faisant s’effondrer le toit du Casino.
Le lendemain, 2 août 2018, dans les champs, tout n’est que désolation ! Les grêlons ont haché les salades, fait de la dentelle avec les feuilles des courgettes, réduit en charpie celles des blettes, etc.
Certains légumes pourront être replantés, comme les salades, les courges, mais pour d’autres, comme les choux, c’est impossible ! Si le cœur de certains légumes ne sont pas abîmés, ils pourront terminer leur cycle de croissance, avec un léger retard toutefois. Il faut espérer une belle arrière-saison qui permettrait aux derniers plants, mis en terre après cet épisode de grêle, d’arriver à maturité !
Vous pourrez évaluer l’étendue du désastre avec les quelques photos prises ce matin :
L’apéritif dînatoire de Bonneville est en passe de devenir un rendez-vous incontournable pour les Amapien(ne)s rattachés à ce lieu de distribution. Cette année, les adhérent(e)s de Thyez avaient été conviés à nous rejoindre : leur lieu de distribution, le Site économique des Lacs ne permettant pas d’organiser ce genre de réunions.
Le beau temps était lui aussi de la partie…heureusement ! Pour les personnes qui ne connaissent pas cet endroit, rappelons que tout se passe à l’extérieur, été comme hiver, qu’il pleuve, vente ou neige ! Malgré ces handicaps, les distributions sont toujours très conviviales.
Il en a été de même ce vendredi 6 qui était également le jour anniversaire des 50 ans d’Ollivier ! Joyeux Anniversaire, Ollivier ! Une collecte avait été organisée et lui a été remise à la fin des festivités, mais nous avons oublié d’immortaliser ce moment ! Dommage ! Ollivier a été très ému par cette attention à laquelle il ne s’attendait pas du tout !
Préparation des canapés avec un beau fromage de tête de Biodup
La famille Dupanloup (Biodup) et Super JP
Aspic de fruits rouges (cerises, framboises, fraises, groseilles, myrtilles) décoré de chantilly, groseilles rouges et groseilles maquereaux.
Les plats ont tous été goûtés et complètement mangés tellement ils étaient bons, notamment les pizzas de Laëtitia !
Linzer torte de Sylvie : très très bon ! Recette sur le site !
Toutes ces photos ne reflètent pas le nombre de personnes qui sont réellement venues à cet apéritif dînatoire : les Amapiennes et Amapiens sont restées plus ou moins longtemps selon leur temps disponible et leurs impératifs familiaux… et quand la photographe se régale de toutes les bonnes choses disposées sur la table ou papote, elle ne prends pas de photos !
Quelques photos de l’aide au jardin de samedi dernier
Voici le calendrier prévisionnel de l’aide au jardin pour les mois à venir :
Alors que la nuit s’installait, des Amapiens et Amapiennes convergaient, depuis des endroits plus ou moins distants, vers la salle Cécile Bocquet à Reignier, pour participer à la huitième Assemblée Générale de notre AMAP.
Les participants furent moins nombreux que la dernière fois : seulement une vingtaine, mais cette réunion s’est tenue en plein milieu des vacances de Toussaint alors que de nombreuses personnes profitent de ces quelques jours pour rendre visite à leur famille ou prendre des vacances avant l’arrivée de l’hiver et de ses contraintes.
Peu nombreux, mais une bonne ambiance conviviale, chaleureuse et bon enfant !
Laëtitia PRUDHOMME, présidente, débute la séance avec le rapport moral. Elle met l’accent sur la précarité du Collectif qui fonctionne avec un nombre réduit de membres. L’absence d’un seul membre met en péril l’existence même de l’association. De plus, le travail étant réparti sur peu de personnes, ces dernières sont surchargées de travail et s’épuisent !
Ollivier SAVELLI, vice-président et référent de Bonneville, intervient en disant que les membres du bureau sont majoritairement Bonnevillois. Les adhérents de Reignier sont sollicités pour rétablir un bon équilibre au sein du Collectif. Il ajoute que la charge de travail des membres bonnevillois du Collectif correspond environ à 500 heures de travail, argument qu’il a développé avec Monsieur Stéphane VALLI, maire de Bonneville, au cours d’une entrevue afin de montrer les impacts économique et humain de notre AMAP au sein de la commune.
Laëtitia enchaîne avec le rapport d’activités. La participation de l’AMAP à divers événements, tant à Reignier qu’à Bonneville, a été fructueuse dans l’ensemble.
Michèle DUCLOT, vice-présidente, fait le bilan de la diversification qui est, comment pourrait-on dire, variée quant aux résultats. Les livraisons de viande par Nicolas Dupanloup s’effectuent sans problème. Il en est quasiment de même avec le pain de Biopain. En ce qui concerne les fromages de chèvre, il est toujours difficile de communiquer avec la productrice. Quant aux fraises, l’expérience de cette année ne sera pas renouvelée l’an prochain avec ce producteur.
Pour les agrumes, la gestion est assez prenante pour Laëtitia, en raison du volume de fruits commandés en nette augmentation ; mais également en raison du contexte existant au moment où l’AMAP s’est greffée sur cette possibilité d’obtenir des agrumes. Notons que le regroupement des commandes avec leurs paiements est un service que l’AMAP rend à tous les adhérents, bien que cela ne fasse pas partie de ses attributions.
Les fruits de l’été risquent de ne pas être reconduits, car le producteur s’est installé en tant que maraîcher et n’aura plus le temps de nous livrer. Nous allons essayer de trouver un autre producteur.
Il reste quelques projets de diversification à mettre en route : la bière, les animaux de basse-cour, et le fromage de vache.
Jean-Pierre Biolluz, présent à cette réunion, évoque les difficultés de l’année écoulée : problèmes de santé, de personnel qui ont peut-être influé sur les cultures. Les deux employés, partis au début du printemps, ont été heureusement rapidement remplacés. Les adhérents n’ont pas constaté de différence notable quant au volume des légumes dans les paniers.
Laëtitia enchaîne sur le rapport moral. Elle met l’accent sur la précarité du Collectif qui fonctionne avec un nombre réduit de membres. L’absence d’un seul membre met en péril l’existence même de l’association. De plus, le travail étant réparti sur peu de personnes, ces dernières sont surchargées de travail et s’épuisent !
Ollivier SAVELLI, vice-président et référent de Bonneville, intervient en disant que les membres du bureau sont majoritairement Bonnevillois. Les adhérents de Reignier sont sollicités pour rétablir un bon équilibre au sein du Collectif. Il ajoute que la charge de travail des membres bonnevillois Collectif correspond environ à 500 heures de travail, argument qu’il a développé avec Monsieur Stéphane VALLI, maire de Bonneville, au cours d’une entrevue afin de montrer l’impact économique et humain de notre AMAP au sein de la commune.
Annemarie BUCHET, webmestre, mandatée par Emilie PiNNA, trésorière démissionnaire, lit le bilan de l’année écoulée. Les résultats sont bons.
Nos producteurs de légumes, Frieda et Jean-Pierre Biolluz, ont fait une demande pour l’obtention du label « Nature et Progrès ». Marc DUBOIS, membre de Nature et Progrès, explique en quoi consiste ce label et précise que nos producteurs ne pourront pas l’utiliser avant 2019.
« Fondée en 1964, Nature & Progrès, une des plus anciennes organisations du bio en Europe, a élaboré son premier cahier des charges en 1972. Associant professionnels et consommateurs, elle milite pour une « agriculture respectant le vivant » et promeut l’agroécologie. Elle se distingue du règlement européen, limité selon elle « à une dimension technique qui ne questionne ni l’industrialisation de la bio, ni ses répercussions sociales et écologiques », en prônant une démarche plus globale, vers une agriculture bio paysanne et locale. Elle compte environ 1 000 adhérents professionnels et 1 000 adhérents consommateurs. C’est une marque privée, qui n’est pas forcément cumulée avec le label européen. » (Le Monde du 16 janvier 2017)
Charte Nature et Progrès
Cahier des charges de Nature et Progrès
Répondant à l’appel au secours de Laëtitia, plusieurs personnes demandent à intégrer le Collectif et rendez-vous est donné à tous pour la prochaine réunion qui aura lieu le 9 novembre.
Sur la photo , de gauche à droite :
Nous remercions les membres sortants : Emilie PINNA, Raymonde PORCHET et Jean-Claude BRUN pour tout le travail accompli au sein de l’association.
La séance est levée et tout le monde rejoint le buffet afin de se restaurer un peu, de faire connaissance et discuter beaucoup !